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Ce mardi, la République Démocratique du Congo a accueilli une visite diplomatique d’envergure. Le Président de l’État d’Israël, Isaac Herzog, est arrivé à Kinshasa pour une mission officielle de quelques heures, marquant une étape significative dans les relations bilatérales entre les deux nations.
Le mouvement Sauvons la RDC a publié ce samedi 18 octobre 2025 un communiqué condamnant fermement ce qu’il qualifie d’« enlèvement » de l’opposant Seth Kikuni à son arrivée à Kinshasa. Selon le texte signé par plusieurs leaders politiques, cette arrestation aurait eu lieu « sur ordre du président Félix Tshisekedi », et le mouvement exige sa libération immédiate et sans condition.
C’est un tournant stratégique dans la lutte contre les groupes armés à l’est de la République démocratique du Congo. Pour la première fois, Kinshasa, Kigali, Doha, Washington et l’Union africaine ont officiellement annoncé le lancement du « Concept des opérations », un plan commun visant à neutraliser les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) et leurs groupes dissidents, à favoriser le désengagement militaire, et à conduire à la levée du dispositif défensif rwandais sur le sol congolais.
Le Général-Major Kakule Somo Evariste, Gouverneur militaire du Nord-Kivu, a effectué une visite d’inspection cruciale ce vendredi 3 octobre pour exhorter les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) à une préparation optimale pour contrer toute escalade des hostilités.
À la tribune des Nations Unies, le président congolais Félix Tshisekedi a lancé un cri d’alarme face à la crise humanitaire qui ravage l’est de la République démocratique du Congo. Devant la 80ᵉ Assemblée générale, il a dénoncé un « génocide » en cours, accusant ouvertement le Rwanda et le groupe armé M23 d’être responsables de massacres, de pillages massifs et de la destruction systématique de communautés entières.
Un atelier organisé à Kinshasa par le Mécanisme national de suivi (MNS) a réuni divers acteurs étatiques et non étatiques. Les participants ont plaidé pour une meilleure articulation entre l’Accord-cadre d’Addis-Abeba et les processus de paix de Washington et de Doha, dans l’optique de renforcer la stabilité en République démocratique du Congo et dans la région.
Le Premier ministre népalais Khadga Prasad Sharma Oli a annoncé sa démission mardi 9 septembre, alors qu’un climat d’insurrection secoue Katmandou. Quelques heures plus tôt, des manifestants en colère ont incendié le bâtiment du Parlement et attaqué des symboles du pouvoir, faisant au moins 19 morts et des centaines de blessés selon les autorités.
Dans une escalade de la crise diplomatique déjà explosive, la République démocratique du Congo (RDC) a récemment lancé une campagne choc aux Nations Unies. Kinshasa cherche la reconnaissance d’un « génocide » commis par le Rwanda et ses alliés dans l’est du pays. Cette démarche audacieuse, loin de passer inaperçue, a provoqué une vive réaction de la part de Kigali, qui a jugé la proposition « stupide » et « inadmissible ». Cet article explore les enjeux de cette grave accusation, les réactions des deux camps et le contexte historique complexe qui alimente cette guerre des mots.
Dans la nuit du lundi 9 au mardi 10 septembre, une attaque des Forces démocratiques alliées (ADF) a fait au moins 89 morts dans le village de Ntoyo, au Nord-Kivu. Les victimes étaient principalement des civils réunis pour assister à des funérailles. Le bilan pourrait encore s’alourdir.
À quelques semaines de l’Assemblée générale des Nations unies prévue en septembre à New York, Washington a refusé, vendredi 29 août, d’octroyer des visas à plusieurs membres de la délégation palestinienne.
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La présidente tanzanienne Samia Suluhu Hassan a annoncé l’ouverture d’une enquête officielle sur les violences qui ont émaillé la semaine électorale, dans un contexte de fortes accusations visant son gouvernement. Selon plusieurs témoins et organisations politiques, les forces de sécurité auraient réprimé de manière brutale les manifestations contestant les résultats du scrutin.

