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Le mouvement Sauvons la RDC a publié ce samedi 18 octobre 2025 un communiqué condamnant fermement ce qu’il qualifie d’« enlèvement » de l’opposant Seth Kikuni à son arrivée à Kinshasa. Selon le texte signé par plusieurs leaders politiques, cette arrestation aurait eu lieu « sur ordre du président Félix Tshisekedi », et le mouvement exige sa libération immédiate et sans condition.

C’est un tournant stratégique dans la lutte contre les groupes armés à l’est de la République démocratique du Congo. Pour la première fois, Kinshasa, Kigali, Doha, Washington et l’Union africaine ont officiellement annoncé le lancement du « Concept des opérations », un plan commun visant à neutraliser les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) et leurs groupes dissidents, à favoriser le désengagement militaire, et à conduire à la levée du dispositif défensif rwandais sur le sol congolais.

À la tribune des Nations Unies, le président congolais Félix Tshisekedi a lancé un cri d’alarme face à la crise humanitaire qui ravage l’est de la République démocratique du Congo. Devant la 80ᵉ Assemblée générale, il a dénoncé un « génocide » en cours, accusant ouvertement le Rwanda et le groupe armé M23 d’être responsables de massacres, de pillages massifs et de la destruction systématique de communautés entières.

Un atelier organisé à Kinshasa par le Mécanisme national de suivi (MNS) a réuni divers acteurs étatiques et non étatiques. Les participants ont plaidé pour une meilleure articulation entre l’Accord-cadre d’Addis-Abeba et les processus de paix de Washington et de Doha, dans l’optique de renforcer la stabilité en République démocratique du Congo et dans la région.

Le Premier ministre népalais Khadga Prasad Sharma Oli a annoncé sa démission mardi 9 septembre, alors qu’un climat d’insurrection secoue Katmandou. Quelques heures plus tôt, des manifestants en colère ont incendié le bâtiment du Parlement et attaqué des symboles du pouvoir, faisant au moins 19 morts et des centaines de blessés selon les autorités.

Dans une escalade de la crise diplomatique déjà explosive, la République démocratique du Congo (RDC) a récemment lancé une campagne choc aux Nations Unies. Kinshasa cherche la reconnaissance d’un « génocide » commis par le Rwanda et ses alliés dans l’est du pays. Cette démarche audacieuse, loin de passer inaperçue, a provoqué une vive réaction de la part de Kigali, qui a jugé la proposition « stupide » et « inadmissible ». Cet article explore les enjeux de cette grave accusation, les réactions des deux camps et le contexte historique complexe qui alimente cette guerre des mots.