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À la tribune des Nations Unies, le président congolais Félix Tshisekedi a lancé un cri d’alarme face à la crise humanitaire qui ravage l’est de la République démocratique du Congo. Devant la 80ᵉ Assemblée générale, il a dénoncé un « génocide » en cours, accusant ouvertement le Rwanda et le groupe armé M23 d’être responsables de massacres, de pillages massifs et de la destruction systématique de communautés entières.
Dans une escalade de la crise diplomatique déjà explosive, la République démocratique du Congo (RDC) a récemment lancé une campagne choc aux Nations Unies. Kinshasa cherche la reconnaissance d’un « génocide » commis par le Rwanda et ses alliés dans l’est du pays. Cette démarche audacieuse, loin de passer inaperçue, a provoqué une vive réaction de la part de Kigali, qui a jugé la proposition « stupide » et « inadmissible ». Cet article explore les enjeux de cette grave accusation, les réactions des deux camps et le contexte historique complexe qui alimente cette guerre des mots.
« Nous avons accueilli à Doha les deux parties, la RDC et le M23, afin d’examiner la mise en œuvre de l’accord de principe signé ici même », a déclaré al-Ansari lors d’un point presse.
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La présidente tanzanienne Samia Suluhu Hassan a annoncé l’ouverture d’une enquête officielle sur les violences qui ont émaillé la semaine électorale, dans un contexte de fortes accusations visant son gouvernement. Selon plusieurs témoins et organisations politiques, les forces de sécurité auraient réprimé de manière brutale les manifestations contestant les résultats du scrutin.

